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BAJO MIS ALAS







Vuelo por planeador,
encima del volcán Cotopaxi hacia el volcán Antisana
 ver mapa debajo la video









                            Antisana       Cotopaxi
clic sobre la imagen para agrandirla






























VOLCANS ET CORDILLÈRE FILMES DEPUIS UN PLANEUR







Du volcan Cotopaxi
 au volcan Antisana
 voir la carte sous la vidéo









Le Cotopaxi est en vert, à droite de Quito.
L'Antisana en marron, forme un triangle avec Quito et le Cotopaxi.

clic sur l'image pour l'agrandir





















clic sur la radio
4 émissions
Quito, centre du monde
Le droit à l'eau
et 2 datant des années 50




















LOS DESCENDIENTES DEL JAGUAR...........................................................................................

2'30

El pueblo Sarakuyu, 
ubicado en la Selva Amazona
no accepta de subir la invasión de su teritorio ancestral
por una companía petrolera. 
Sabe lo que se ha pasado en altros lugares. 
Como fue destruída la tierra, la vida de las comuninades. 
Así se va a encontrar a la Corte Interamericana de los Derechos Humanos, en Costa Rica.

La presentación del documental, acaba cuando un pequeño avión despega.

Este film, será de pronto en internet.































LIVRE

UN BRIN D HERBE CONTRE LE GOUDRON.........
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BLOG "REGARDS LATINO" 21 mai 2012
« Un brin d’herbe contre le goudron » vient de sortir aux Editions Michel Lafon. Il s’agit du récit autobiographique de Maria Aguinda, l’un de 39 plaignants qui ont attaqué Texaco en justice pour les dégâts provoqués par l’exploitation pétrolière de la compagnie étatsunienne en Equateur entre 1964 et 1990. Je suis très honoré d’avoir participé à l’écriture de ce livre en recueillant les récits de son héroïne. Cela m’a aussi permis de vivre l’expérience unique de partager le quotidien d’une communauté kichwa de l’Amazonie équatorienne pendant plusieurs semaines. 
 
Ce livre est le récit d’un rencontre entre une femme humble et extraordinaire et l’histoire. Cette femme n’est pas une indignée. C’est une révoltée, révoltée dès son enfance contre des parents qui ne veulent pas qu’elle aille à l’école, révoltée contre les convenances qui l’obligent à accepter un mari qu’elle ne connaît pas mais qu’elle finira par aimer. Mais surtout révoltée contre les gringos de Texaco dont l’activité pétrolière a réduit à néant son environnement.
« Nous étions au Paradis, nous sommes tombés en enfer » m’a-t-elle raconté lors de nos longs entretiens. Pour elle, Texaco a tout tué : les poissons, la rivière, la faune et la flore, la forêt et surtout la culture. « Ma culture ? Ne dépendre de rien ni de personne. Seule la forêt devrait dicter sa loi » explique-t-elle. Aujourd’hui, elle voit ses enfants contraints de travailler pour toucher un salaire afin d’acheter la nourriture qu’auparavant la forêt dispensait sans réserve.
C’est aussi cela la mondialisation : l’imposition à tous, même aux populations vivant dans les lieux les plus reculés, de participer au grand marché global. Débuté en 1993, la procédure a traîné aux Etats-Unis jusqu’à ce qu’un juge de New York décide en 2002 que seul un tribunal équatorien était compétent dans cette affaire. Le procès n’a abouti à un jugement qu’en 2011 au tribunal civil de Lago Agrio en Equateur.
La justice équatorienne a confirmé en janvier 2012 la condamnation de Chevron, qui a racheté Texaco entre temps, à 19 milliards de dollars de réparations, la plus importante peine jamais prononcée dans une affaire de pollution. Cette somme est le résultat d’une estimation du coût de réparation des dommages causés par l’exploitation pétrolière : nettoyage de l’eau, de la terre, création d’un système d’adduction d’eau, création d’un réseau de santé, etc. Les minutes du jugement, qui sont en partie reproduites à la fin de l’ouvrage, montrent que cette sentence a été minutieusement construite.
«La justice a enfin reconnu que je ne mentais pas, que mon mari et deux de mes enfants n’étaient pas morts par hasard », explique Maria Aguinda. Bien sûr, Chevron ne disposant d’aucun actif en Equateur, il sera difficile pour les autorités de ce pays de contraindre rapidement la compagnie pétrolière à verser ces dommages et intérêts. Mais cette condamnation n’en reste pas moins un extraordinaire précédent qui risque d’avoir des suites dans d’autres pays. Au Brésil, suite à une fuite du un puits offshore, le gouvernement a pris il y quelques semaines une décision de saisie conservatoire des biens de Chevron pour une valeur de 9 milliards de dollars. « Un brin d’herbe contre le goudron » est un témoignage poignant sur le colonialisme d’aujourd’hui qui provoque des catastrophes multiples, particulièrement dans les Andes, dont les premières victimes sont souvent les populations autochtones.
Un brin d'herbe contre le goudron, Maria Aguinda avec la collaboration de Patrick Bèle, Edition Michel Lafon, 189 pages, 17,95 euros.


PS  c'est un blog du Figaro. Mais l'auteur jouit d'une indépendance d'esprit totale, et surtout fait preuve d'une grande honnêteté intellectuelle et d'un attachement viscéral au continent latino américain









































EN ESPERA ES........................................
Cortometraje ecuatoriano de Gabriela Calvache.
 14'

Presentación del portal del Cine Latinoamericano
"Entre la ciudad y el campo se despliegan las formas sutiles y modernas de la esclavitud. Carmen, una niña, se aleja monte abajo para esperar, al filo de la carretera, por la camioneta que ha de transportarla hacia la ciudad. Una vez allí, entre una interminable sucesión de muros y rejas, unas voces infantiles la envuelven y Carmen se asoma al portón de una escuela. Formadas y uniformadas, no es a esas niñas a quienes se unirá Carmen. Son otros muros más sombríos los que absorberán sus pasos y acallarán su canto. "
http://www.cinelatinoamericano.org/ficha.aspx?cod=5976